Vincent Martins

Je regarde le monde, mais ai-je perdu la vue

C'était il y a un an, été dans le ciel, orage dans la tête

Pas seulement le message d’un homme qui croyait en l’amour

Je m'étais imaginé médecin légiste Mais trop de froid sur les corps

La peur d’aimer ou plus sûrement sa maladresse

Un an après « Nomade », ma vie a bien changé

Entre doutes et certitudes Entre aventures et habitudes

On prend des lettres et on en fait des mots,

Chaque matin je me lève plein d'espoirs Peu importe qu'hier ait été beau, qu'hier ait été noir

Celui que j’aurais aimé être, le texte que je modifierai le plus souvent